Marie-Jeanne Schnoebelen, facilitatrice en Biodanza : Danser en conscience, n’est-ce pas atteindre la félicité ?

Marie-Jeanne Schnoebelen a travaillé comme secrétaire puis comme adjointe de direction dans le domaine de la santé et de l’équipement collectif. En vue de la retraite elle a suivi une formation de facilitatrice en Biodanza. Depuis une douzaine d’années elle anime un atelier de Biodanza dans le nord de l’Alsace, à Haguenau, où elle habite.  Elle est maman de deux enfants et grand-mère de deux petits-enfants.

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La nature nous parle

C’est le printemps ! Les feuilles d’un beau vert tendre apparaissent, les fleurs surgissent, les oiseaux redoublent de mélodies joyeuses, les températures remontent… Et j’entends partout dire « ça fait du bien ! », « qu’est-ce que j’aime cette saison ! », « enfin de la lumière ! »… De fait, la vie de la nature nous rejoint. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ?

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Un labeur discret, patient, précis

Un beau jour, il y a longtemps, je suis allée apprendre à tourner des pots, et voilà que ce vécu d’apprentie-potière m’est restitué tout vif.  

C’est bien étrange. Tout cela m’est revenu au cours d’une rencontre où nous échangions sur les grands mouvements qui actuellement travaillent le monde et sur l’urgente nécessité de s’en préoccuper. Nous cherchions comment apporter au mieux notre propre part, et je crois que c’est le climat de nos partages qui m’a rejointe dans ce que chaque potier éprouve corps et âme : la fécondité d’un labeur discret, patient et précis, qui façonne de belles « utilités ».

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Nos habitudes

Cet après- midi là, ma balade m’amène le long des quais du port. Je m’arrête pour regarder ce pêcheur en train de réparer son filet : j’essaye de suivre des yeux la décomposition de ses gestes répétitifs : son habilité me saisit !Pecheur

En découvrant la longueur de l’accroc, la tâche me semble démesurée : pourtant à travers les mouvements réguliers de la navette les mailles se reforment et le filet reprend, assez vite, son allure d’origine. J’ose m’exclamer «  ça avance vite votre travail ! » et l’homme de me répondre « oh vous savez j’ai tellement l’habitude ! » Lire la suite « Nos habitudes »