En formation

AVERTISSEMENT : cette page intitulée « en formation » est prioritairement destinée aux personnes actuellement en formation PRH. Aussi, certaines notions ou mots particuliers propres au système explicatif PRH ne sont pas explicités dans ce qui suit.

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textes publiés

2.  La relation d’aide PRH par Michel Lamarche

  1. L’essentiel de la formation PRH, par André Rochais

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  1. La relation d’aide PRH par Michel Lamarche

Qu’est-ce qui singularise la relation d’aide PRH par rapport aux autres approches existantes ?

 photo M. Lamarche

La théorie sous-jacente

C’est toujours avec l’arrière-fond d’une conception de l’être humain et des mécanismes de son fonctionnement psychologique que l’on aide quelqu’un, que l’on diagnostique les problématiques et que l’on accompagne une personne dans son évolution. Chaque école a théorisé son approche de la personne humaine.

Nos principaux fondements anthropologiques et psychologiques ont été consignés dans l’ouvrage «La personne et sa croissance».

Cette conception de l’être humain induit notamment une confiance dans les capacités d’évolution de la personne et dans son aptitude à trouver par elle-même des solutions aux problèmes qu’elle rencontre, ce qui invite à un grand respect de sa liberté.

La méthode

Proche du courant humaniste rogérien, la méthode PRH mise sur la qualité d’empathie et même de bienveillance du formateur envers la personne aidée. C’est une aide basée sur une relation humaine de qualité, sécurisante, authentique, respectueuse, où toute la personne de l’accompagnateur est impliquée. Dans une telle présence, «l’écouté» peut progressivement lâcher ses défenses, accéder à des niveaux plus profonds de lui-même, enfouis jusqu’alors dans l’inconscience, et risquer une parole personnelle.

Gabs

  • L’accompagnement PRH s’inscrit dans un ensemble de moyens (stages, méthode d’auto-formation, journal de croissance, etc.). C’est en synergie avec ces autres moyens que l’aide individuelle est habituellement proposée. L’expérience montre en effet qu’elle atteint son maximum d’efficacité grâce au complément que constitue notamment le travail en groupe. Nous nous distinguons là de beaucoup de méthodes qui utilisent exclusivement la relation interpersonnelle entre le thérapeute et son client.

 

  • C’est une méthode structurée. La personne aidée est invitée à préparer l’entretien et la séance est supposée se dérouler en quatre temps : formulation de la demande et du contexte dans lequel elle apparaît ; reformulation de l’accompagnateur ; dialogue sur et/ou exploration de la problématique apportée ; conclusion reprenant l’essentiel retiré de l’entretien et ses implications concrètes sur le quotidien de la personne. La rédaction d’un bilan écrit est également encouragée.

 

  • Paradoxalement, à côté de cet aspect très structuré, la méthode admet une grande souplesse d’adaptation dans sa mise en œuvre. Par exemple, selon le besoin, l’accompagnateur peut se positionner différemment : soit dans une forme de directivité aidante, soit à l’inverse dans une non directivité permettant à la personne d’analyser son vécu sans interférence extérieure, soit encore dans une posture de dialogue où chacun s’implique pour faire avancer les choses. De même, l’utilisation de l’accompagnement peut se vivre de manière tout à fait occasionnelle, ou bien très régulièrement, selon un rythme adapté au besoin de chacun. PRH se distingue ainsi des méthodes qui préconisent un mode exclusif de relation à la personne aidée, et de celles qui prônent une fréquence très soutenue des entretiens, ou une durée au contraire très limitée (thérapie dite « brève »).

 

  • Shema de la personneLa méthode sollicite les cinq instances de la personne, et pas seulement son intellect, ou ses émotions, ou encore un vécu corporel, comme dans certaines autres pratiques. C’est une approche globale. On sollicite l’être, où la personne peut puiser à ses ressources profondes (son goût de la vérité, son désir de progresser…), son «moi-je» où l’intelligence permet d’analyser, de comprendre, de faire des liens, de se projeter dans son futur proche, où sa liberté délibère en référence à sa conscience profonde en vue de décisions constructives, où sa volonté l’aide à être tenace dans son travail. Mais aussi sa sensibilité et son corps qui sont les matériaux de base : la personne vient, porteuse de toutes les sensations à contenu psychologique que ces deux instances éprouvent. L’instance du «moi-je» tient une place particulièrement importante. C’est le travail de connaissance et de conscientisation d’une part, de mise en oeuvre des potentialités d’autre part, qui permet de progresser. Une spécificité de notre méthode est effectivement de s’appuyer en grande part sur l’outil d’analyse des sensations à contenu psychologique mis au point par André Rochais, fondateur de PRH.

 

  • Nous accordons une place de premier plan à la personne accompagnée. C’est elle qui conduit son entretien, qui décide ce qui lui semble être le meilleur pour avancer. Des outils pédagogiques sont mis à sa disposition pour lui apprendre à se faire aider. Le formateur a un rôle plus second tout en restant interactif. Il l’accompagne sur le sujet qu’elle a décidé d’aborder en l’aidant de ses attitudes, de son silence, de ses reflets, de ses questions, des pistes qu’il suggère. Son but est d’être un facilitateur du travail de la personne, de son autonomie, de son ajustement et de la verbalisation de ce qu’elle perçoit, ressent ou pense. L’exigence d’authenticité peut l’amener à exprimer son point de vue, à mettre en question tel dysfonctionnement non identifié et même, exceptionnellement, à se montrer directif quand la personne est manifestement incapable de prendre une décision où sa vie est en jeu. Ainsi, nous ne nous situons ni dans une logique de neutralité ou d’effacement quasi complet, comme dans certaines approches de type psychanalytique, ni dans une posture directive comme dans d’autres approches comportementalistes.

 

  • Le rapport à l’argent diffère de certaines autres approches qui voient dans la rémunération un facteur d’authentification et de stimulation de la motivation de leurs clients. PRH propose une grille indicative, mais c’est la personne qui, en conscience, calcule sa participation financière en tenant compte de ses ressources et de sa situation personnelle. En outre, des accompagnateurs bénévoles mettent leur compétence à la disposition des personnes plus défavorisées matériellement.

 

  • Nous prenons en compte le travail sur le transfert et sur le contre-transfert. Il est identifié et exploré comme un mode d’approche du passé douloureux, ou comme un élément de vitalisation très actif. Mais il ne constitue pas l’axe central autour duquel tourne toute la démarche, comme on peut le constater dans les approches psychanalytiques.

 

  • Enfin, à la différence d’autres méthodes, l’accompagnement individuel PRH n’utilise pas de mises en conditions particulières pour susciter les sensations ou les émotions (hyperventilation, mouvements oculaires, hypnose, etc.), ni les associations d’idées, ni les rêves, ni les interprétations, ni les classifications (caractérologique, psychopathologique), ni aucun comportement provocateur censé démasquer les systèmes de défense

Qu’est-ce que le transfert ?

Il y a transfert lorsqu’on reproduit sur quelqu’un (d’aujourd’hui) le vécu affectif d’une relation importante de l’enfance. Par exemple lorsque, étant adulte, une personne aidée ressent vis-à-vis de son accompagnateur la peur d’être incomprise et jugée qu’elle avait, enfant, face à un père ou une mère culpabilisant.

On parle également de transfert quand on trouve auprès de quelqu’un d’aujourd’hui la satisfaction à des besoins carencés dans l’enfance. On parle alors de transfert positif ou comblant, caractérisé par un fort attachement à la personne qui donne ce qui a manqué autrefois. Ces transferts, bien élucidés et gérés, sont des atouts importants pour un cheminement de croissance et de guérison

Et comment définir le contretransfert ?

Il s’agit des réactions inconscientes, non contrôlées et désajustées, qu’éveille chez l’accompagnateur le transfert de la personne accompagnée (en positif ou négatif). Par exemple, sentiment d’injustice, sentiment d’agression pouvant entraîner des paroles défensives, volonté de pouvoir à l’égard d’une personne dépendante, désir de répondre aux besoins affectifs de la personne aidée, etc. L’accompagnateur se doit de faire le clair sur son vécu face au transfert de la personne qu’il accompagne. Il se doit d’ajuster au mieux ses réactions afin qu’elles soient aidantes. Cela nécessite qu’il ait acquis une maturité affective suffisante

La finalité

Même si la demande initiale peut être focalisée sur une difficulté particulière, un symptôme gênant, une entrave ou un dysfonctionnement, l’accompagnateur a toujours en arrière-fond la préoccupation de la croissance globale de la personne. C’est la finalité essentielle d’un parcours avec les outils PRH, quels qu’ils soient : que les ressources profondes de la personne puissent se déployer, que son potentiel de santé psychologique soit suscité, que ses comportements soient le plus en harmonie possible avec sa conscience profonde, qu’un sens à son existence lui apparaisse, bref que la personne puisse se mettre debout, conduire sa vie et apporter sa pierre -le meilleur d’elle-même- à la société à laquelle elle appartient

Le travail sur les dysfonctionnements et sur toutes les problématiques n’a de raison d’être que pour libérer de ce qui peut entraver cette dynamique et favoriser ainsi le mouvement naturel de croissance qui existe en tout être humain. Autrement dit, la finalité de notre accompagnement vise l’appropriation de sa véritable identité et l’apprentissage d’un mode de vie cohérent avec ce que l’on est profondément

Les limites

Le recul de plus de 45 ans d’expérience révèle combien cette forme d’accompagnement a aidé et continue d’aider efficacement un nombre important de personnes adultes de par le monde. Toutefois, comme toute méthode, elle comporte des limites. L’accompagnement PRH n’est pas le plus adapté pour des personnes présentant des pathologies psychologiques graves, ni pour celles dont l’intelligence ne parvient pas habituellement à travailler, tant l’intensité de leurs émotions ou de leurs perturbations envahit et altère leur champ de conscience.

Certaines personnes à forte dominante cérébrale peuvent trouver intérêt à compléter notre approche par des séances où le corps est davantage mis en scène (relaxation, massage, méthode Vittoz, etc.).

D’autres, qui ont particulièrement bien intégré les outils PRH, peuvent avoir avantage à les compléter, voire à les remplacer, par des moyens nouveaux, inconnus, donc surprenants, qui les aident à aborder leur personne différemment. Une méthode, aussi efficace soit-elle, ne peut prétendre rassembler à elle seule la richesse de la diversité des approches.

D’autres limites existent, inhérentes à toutes les formes d’aide psychologique : elles relèvent de la manière dont certaines personnes manient cet outil, ou de la manière dont certaines problématiques enferment des personnes dans des impasses difficiles à surmonter.

Dans un cheminement humain, toutes les méthodes d’accompagnement restent des moyens, certes plus ou moins adaptés ou performants, toujours perfectibles, mais jamais magiques ni auto-suffisants.

Michel Lamarche, Ancien formateur PRH à la retraite, il a animé un vaste panel de stages PRH et accompagné des personnes pendant de nombreuses années, il est aujourd’hui le rédacteur principal de la plupart des ouvrages publiés par PRH.

Cf le site PRH sur l’aide personnelle

1. L’essentiel de la formation PRH, par André Rochais

En 1988, André Rochais, fondateur de PRH, écrivait dans le courrier de PRH France, le texte suivant, dans lequel il analysait ce qui, selon lui, constituait l’essentiel de la formation PRH. Nous vous proposons de découvrir ce texte, qui reste toujours d’actualité. 

Il y a quelques mois, prenant du recul par rapport au grand nombre de sessions que nous avons, je m’interrogeais. «Au-delà de tout cela, quel est l’essentiel? Dans la formation que nous donnons, qu’est-ce qui servira aux gens toute leur vie, même après qu’ils auront arrêté de suivre des sessions ? »

Pour me répondre, je me suis tourné vers moi et je me suis demandé: «Toi, qu’est-ce qui t’est le plus utile dans tout ce que tu as créé ? Tu ne suis pas de sessions… Y-a-t-il quelque chose de typiquement PRH qui te sert, au-delà des sessions et de tout l’outil de formation ?»

Ce que j’ai trouvé m’a beaucoup éclairé. Si vous en avez le goût et si vous voulez tester votre compréhension de la formation PRH, je vous invite à faire la même démarche que moi. Voici comment vous pourriez procéder.

Arrêtez la lecture de cet article et donnez-vous un délai de 24 heures au moins pour faire le TPA (travail personnel d’analyse) suivant.

Prenant du recul par rapport à tout ce que j’ai fait en PRH (session, GRAC, relation d’aide, FPM … ), je m’interroge:

Qu’est-ce qui me reste de cette formation et qui me sert encore dans ma vie quotidienne?

Ne retenez que l’essentiel. Pas plus de 5 items.

André Rochais 2Quand j’ai fait moi-même le TPA que je viens de vous proposer, deux choses sont apparues nettement. Ce qui me reste et me sert tout le temps c’est : l’outil de l’analyse et la méthode pour discerner les décisions constructrices de l’être et de toute la personne.

Un mot s’est dégagé avec relief en moi: le mot « clé ». L’outil de l’analyse et l’outil du discernement sont les deux clés de la formation PRH et donc en constituent l’essentiel.

Pourquoi le mot « clé » ? Une clé c’est fait pour ouvrir des portes. Or :

la clé de l’analyse me permet d’ouvrir la porte de mes sensations et de tout mon monde intérieur. Et il y en a des pièces, des placards et des recoins dans ce monde intérieur !

La clé du discernement me permet d’ouvrir les portes de mon destin.

clés de la formation PRH

Avez-vous bien en main ces deux clés ?

La clé de l’analyse PRH

Il y a quelques mois, une personne que je connais depuis longtemps et qui avait fait beaucoup de sessions PRH, m’écrivait: « Je viens de faire la session A l’écoute de mon monde intérieur. Formidable! Enfin j’ai compris! Avant je stagnais. Maintenant je sais comment avancer. »

Il y a quelques jours, une autre personne m’écrivait: « Au terme de cette année, j’ai éprouvé le besoin de refaire A l’écoute de mon monde intérieur, pour pouvoir travailler, dans les mois à venir, sur tout ce qui bouge actuellement en moi ». Un peu plus loin elle ajoutait: « Ce matin j’ai senti nettement la supériorité d’une sensation corporelle par rapport aux images intérieures qui me viennent et qui risquent de me faire divaguer, m’éloignant de l’intensité de la sensation, m’éloignant de l’intensité de la sensation. »

Vous qui êtes engagés dans la formation PRH, je me permets de vous interroger.

  • Avez-vous fait la session A l’écoute de mon monde intérieur ? Combien de fois ? Je ne pense pas qu’une seule session suffise pour acquérir la maîtrise de l’outil de l’analyse (…)
  • Savez-vous distinguer en vous une impression et une sensation. Certes, une impression c’est une sensation, mais elle n’a pas beaucoup d’épaisseur. Les sensations qui font l’objet de l’analyse PRH ont une certaine épaisseur et un certain contenu intéressant pour la connaissance de soi et sa croissance (…)

 André Rochais 1C’est grâce à cet outil de l’analyse que j’ai pu déchiffrer en moi tout ce que j’ai écrit dans les Notes d’observations, et que j’ai pu créer les sessions qui vous sont offertes.

Bien sûr, avec le temps, je me suis perfectionné et ma clé s’est ciselée, me permettant d’entrer dans des zones de moi qui me seraient restées inaccessibles sans cela.

 La clé du discernement

Un chef d’entreprise me disait récemment: « C’est la session Entraînement à la prise de décisions qui m’a servi, et me sert
le plus, dans ma vie professionnelle. En effet, on est tellement sollicité à décider en référence à d’autres critères que la conscience, par exemple à l’argent, aux combines, etc … ».

Pour ma part, c’est depuis l’âge de 14 ans que je pratique cette référence à la conscience pour décider de mes actes. Je puis dire que cette docilité à ma conscience m’a conduit sur la route de mon agir essentiel: incarner PRH. L’outil PRH est le fruit de cette docilité.

Avec PRH, j’ai observé de plus près le mécanisme du discernement en référence à l’être et à la conscience, et je vous ai livré mes découvertes car, pour moi, cette référence à la conscience est capitale si on veut vraiment devenir qui l’on est en son être et avoir un agir social efficace.

Vous me permettrez bien de vous interroger encore, vous qui avez fait confiance à la méthode de formation PRH.

  • Avez-vous fait la session Entraînement à la prise de décisions ? Combien de fois ?
    Comme pour la session A l’écoute de mon monde intérieur, je ne crois pas qu’on puisse maîtriser l’outil du discernement avec une seule session.
  • Or, ces deux sessions sont les deux clés de la formation. Donc, bien posséder ces deux clés et savoir vous en servir vous fera gagner beaucoup de temps dans votre croissance. Investir dans ces deux sessions, c’est très rentable. Mais évidemment, il faut être prêt et en avoir envie. C’est pourquoi je conçois très bien que vous donniez une priorité à d’autres sessions qui vous semblent plus immédiatement utiles.
  • Pratiquez-vous la méthode de discernement PRH, pas seulement dans les grandes occasions et pour les décisions les plus importantes, mais dans le quotidien ? Autrement dit, cette méthode vous est-elle devenue instinctive? (…)
  • On m’a dit que la session Entraînement à la prise de décisions était peu programmée parce que peu demandée. Pourquoi ? Est-ce que le titre vous fait peur ? Est-ce que suivre sa conscience ne vous semble pas quelque chose de majeur dans votre vie ? Le mot conscience vous rappelle-t-il de mauvais souvenirs ?

André Rochais 3Conclusion

En faisant le petit travail d’exploration dont je vous parlais au début de cet article, j’ai été très heureux de sortir de l’ombre l’essentiel de la formation PRH, à savoir

  • la clé de l’analyse,
  • et la clé du discernement.

J’avais même envie d’intituler mon texte: « Les deux clés de la formation PRH ». C’était une formule choc.

Par honnêteté intellectuelle, j’ai continué de regarder en moi avec la question : qu’est-ce qui me sert tout le temps ? Et là j’ai perçu que le système explicatif PRH de la personne en croissance était en moi en permanence et que je m’y référais très fréquemment

  • pour me comprendre,
  • pour comprendre les autres,
  • pour continuer ma recherche.

Il est en moi, en toile de fond, c’est pourquoi je ne l’ai pas vu en premier.

Je dois donc dire que ce système explicatif constitue un des aspects essentiel de la formation PRH.

Je vous interroge encore.

  • Quand on vous parle de système explicatif, vous savez de quoi il s’agit ?
  • Essayez de vous en dire à vous-même le contenu.
  • Qu’est-ce qui vous sert le plus dans ce système explicatif?
  • Pour moi, en premier, il y a le schéma des 5 instances de la personne. Avant, je vivais tout en vrac et donc dans la confusion. Maintenant je peux classer et cela m’aide à comprendre.
  • Il y a ensuite tout ce qui concerne la blessure de non-existence avec les RDR (Réactions Disproportionnées et Répétitives), et la possibilité de guérir, etc. (Je ne vais pas vous répéter tout ce que j’ai écrit dans les Notes d’observations) .

Je vous souhaite de devenir de plus en plus conscient et de plus en plus intelligent de ce système explicatif.

Voilà l’essentiel de la formation PRH :

  • la clé de l’analyse,
  • la clé du discernement,
  • le système explicatif PRH.

Je souhaite que cette mise en relief de l’essentiel vous aide à MIEUX GERER VOTRE FORMATION. C’est mon souhait le plus intense pour chacune et chacun de vous.

André Rochais, fondateur de PRH (1988)

 

3 commentaires sur « En formation »

  1. Un plaisir de lire tout cela et d’apprendre encore plus par les éclairages faits suite à la lecture de ces deux textes. Mais mon plus grand plaisir est de voir avec facilité juste après la lecture du TPA de ce qui me reste et me sert toujours dans mon quotidien Deux Grand mots se sont dessinés en moi et qui sont « Analyse » et « discernement » . Ces deux outils ou clés sont révolutionnaires pour moi, sont plus puissants que le nucléaire ou tout genre d’armes. Je ne peux remercier assez Andrès Rochais; fondateur de la formation PRH et Michèle Brachet ma formatrice. Je remercie aussi toutes et tous les formateurs de PRH.

  2. J’ai presque 90 ans et mon formateur dans la cession « qui suis-je » a été Michel Lamarche. Je devais avoir 56 ans. Cela a été mes premiers pas dans la formation PRH puisque j’ai fais cinq autres cessions. Je peux dire que ces cessions m’ont portées toute ma vie jusqu’à aujourd’hui où je me sers encore de « mes outils ». Quand j’ai connu PRH j’étais encore « relativement sereine » je ne savais pas ce que la vie me réservais … Si je n’avais pas fais les cessions je ne sais pas qui je serais aujourd’hui, J’ai eu à faire face à la maladie qui a emporté mon fils « bi polaire » que j’ai accompagné seule durant dix ans. Et tellement de choses difficiles à supporter. J’ai du avoir recours à beaucoup de discernement, d’acceptation etc. Merci à Michel (pour mes débuts) et à toutes mes formatrices de qui j’ai tellement reçu. Je me devais d’apporter ce témoignage.

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